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VERTIÈRES: LA BATAILLE EFFACÉE OÙ L’ARMÉE HAÏTIENNE A INFLIGÉ À NAPOLÉON SA PREMIÈRE GRANDE DÉFAITE

Le saviez-vous? En 1803, l’armée haïtienne a infligé à Napoléon sa première grande défaite militaire… à Vertières. Effacée des livres d’histoire, cette victoire historique mérite d’être racontée. Découvrez comment des anciens esclaves ont vaincu l’empire le plus redouté d’Europe.

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VERTIÈRES: THE ERASED BATTLE WHERE THE HAITIAN ARMY DEALT NAPOLEON HIS FIRST MAJOR DEFEAT

Did you know? In 1803, the Haitian army handed Napoleon Bonaparte his first major military defeat at Vertières. Erased from history books, this monumental victory deserves to be remembered. Discover how former slaves defeated one of the most feared empires of Europe.

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LE « CESSEZ-LE-FEU » DU CONGO ET DU RWANDA AU QATAR: UN VÉRITABLE ACCORD DE PAIX OU UNE SIMPLE PAUSE STRATÉGIQUE?

Lors d’une rencontre à haut risque au Qatar, les présidents congolais Félix Tshisekedi et rwandais Paul Kagame ont promis un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel. Mais sans plan concret de mise en œuvre, cette déclaration est-elle une avancée réelle ou un simple écran de fumée diplomatique? Avec les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda, occupant toujours des villes stratégiques et plus de 7 millions de déplacés, s’agit-il d’un véritable espoir de paix ou d’une manœuvre temporaire dans un jeu de pouvoir bien plus vaste ?

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CONGO AND RWANDA’S “CEASEFIRE” IN QATAR: A REAL PEACE DEAL OR JUST A TACTICAL PAUSE?

In a high-stakes meeting in Qatar, Congolese President Félix Tshisekedi and Rwandan President Paul Kagame pledged an “immediate and unconditional ceasefire.” But with no concrete enforcement plan, is this promise just another empty diplomatic gesture? With Rwanda-backed M23 rebels still holding strategic cities in eastern Congo and over 7 million displaced, the question remains: Is this peace, or just a temporary maneuver in a much bigger game?

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CRISE OU COUP D’ÉTAT? LE PRÉSIDENT NIGÉRIAN SUSPEND LE GOUVERNEUR DE L’ÉTAT PÉTROLIER DE RIVERS DANS UNE PRISE DE POUVOIR SANS PRÉCÉDENT

Dans un geste surprenant, le président nigérian Bola Tinubu a déclaré l’état d’urgence dans l’État de Rivers, suspendant le gouverneur Siminalayi Fubara et les parlementaires en raison d’un conflit politique et du sabotage des oléoducs. Mais les critiques dénoncent une manœuvre inquiétante qui menace la démocratie dans la plus grande économie d’Afrique. Tinubu utilise-t-il la crise comme un prétexte pour une prise de contrôle politique? Et pourquoi l’armée contrôle-t-elle désormais l’État pétrolier le plus stratégique du Nigeria?